Alors que le nouveau maire de Montpellier se félicite de recevoir tous les ministres du Gouvernement dans sa ville et bientôt le président de la République, il mène la vie dure au Parti socialiste local. Ce dernier a répondu, par la voix d'Hussein Bourgi, par une contre-proposition et la volonté d'un accord programmatique à la demande de Philippe Saurel de partager les six cantons de Montpellier. "Je ne bougerai pas d'un iota" a répondu celui qui persiste : " C'est moi qui fixe les règles, c'est moi qui ai gagné les élections".
A lire dans notre édition papier de L'Hérault du jour et de La Marseillaise du Gard du vendredi 21 novembre